Comment Faire des funérailles un acte réellement soutenable
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Alors que la crémation est un mode de funérailles de plus en plus utilisé en France et que la construction d’un crématorium pour répondre à cette demande est plus qu’en projet d’étude à Argentan, il nous a paru judicieux de faire echo à la réflexion déjà menée par certains via les journaux sur l’impact du mode de funérailles de tous sur l’environnement.
Nous ne sommes plus des millions sur terre mais beaucoup plus. La pression de chacun sur les ressources énergétiques et de matière, l’environnement, et sur les autres n’est pas à prendre à la légère. Nous sommes de plus à une époque où les décisions sur les funérailles sont prises à l’avance, jusqu’au type de musique. Il est donc possible de penser à ceux qui restent et d’agir pour eux.
Aussi nous relayons les réflexions de Francis Busigny et de Joseph Orszagh sur le sujet :
Francis Busigny interviendra lors de l’Université de la paix en Haute Normandie à Sassetot le Mauconduit 76540 près de Fécamp . Le programme et le détail des personalités se trouve en piece jointe. Le titre de sa présentation sera « La mort écologique » -
Pour mémoire, c’est la famille qui organise les obsèques et qui doit bien entendu respecter la volonté du défunt si celui-ci a exprimé une préférence entre les modes de funérailles.
Si ce n’est pas le cas, les proches sont invités à choisir des funérailles qui correspondent le mieux au défunt.
Il vaut mieux donc le faire savoir par écrit, au même titre que le don d’organe à la mort médicale constatée.